livres phobie sociale

Livres sur la phobie sociale et la personnalité évitante

 

" Les phobies sociales " par Dominique Servant et Philippe-Jean Parquet, Ed. Masson, Paris, 1997. 130 p.

Les phobies sociales, malgré leur fréquence élevée, restent sous-diagnostiquées et rarement prises en charge. Différentes thérapeutiques sont pourtant capables d'améliorer globalement la vie psychologique et relationnelle des patients. Cet ouvrage est le témoin d'une expérience clinique, mais il constitue également une aide pratique dans la prise en charge quotidienne.

Tiré de : http://www.rtbf.be/pulsations/dossiers/phobies.html


" Les personnalités pathologiques. Approche cognitive et thérapeutique " par Quentin Debray et Daniel Nollet, Masson, 1997.

Surtout à l'intention des professionnels de la santé mentale. Différents courants de pensée concernant la psychologie de la personnalité; description et étiologie des différents troubles de la personnalité.

Tiré de : http://www.psychomedia.qc.ca/slec.htm  


 

  " Les états anxieux de l’enfant " par un Collectif, Masson, Paris 1992, 240 p.

Cet ouvrage expose les modalités d'expression des états anxieux, leurs classifications leur épidémiologie, leurs rapports avec la dépression, leurs évolutions possibles..

Tiré de : http://www.rtbf.be/pulsations/dossiers/phobies.html


" La peur des autres : trac, timidité et phobie sociale " par Christophe André et Patrick Légeron, Ed. Odile Jacob, 1995.

Résumé:
Pourquoi a-t-on peur des autres ? Comment expliquer le manque de confiance en soi ? Qu'est-ce qui nous fait perdre nos moyens face à quelqu'un ? Trac, timidité, inhibitions, phobies ... Christophe André et Patrick Légeron décrivent toutes les formes que peut prendre l'anxiété en société et expliquent les mécanismes de ces peurs. Qu'est-ce qui est pathologique et qu'est-ce qui ne l'est pas ? Comment s'en sortir ? Dans quel cas aller consulter et pour quoi faire ? Christophe André et Patrick Légeron sont psychiatres et exercent à l'hôpital Sainte-Anne, à Paris.

Table des matières

I - Nos peurs et leurs manifestations
          Chapitre 1 - Des situations et des hommes
          Chapitre 2 - Le tumulte du corps
          Chapitre 3 - Les désordres du comportement
          Chapitre 4 - Tempête sous un crâne

II - Du normal au pathologique
          Chapitre 1 - Trac et appréhensions
          Chapitre 2 - La timidité
          Chapitre 3 - La personnalité évitante
          Chapitre 4 - La phobie sociale

III - Mais pourquoi donc avons-nous peur des autres ?
          Chapitre 1 - La mécanique du psychisme
          Chapitre 2 - Les origines

IV - Comment s'en sortir
          Chapitre 1 - Médicaments ou psychothérapie ?
          Chapitre 2 - Ne plus fuir
          Chapitre 3 - Mieux communiquer
          Chapitre 4 - Penser autrement
          Chapitre 5 - Au-delà du divan

Conclusion

Tiré de : http://myweb.worldnet.net/~humezol/parole-begaiement/peurs.htm


" Ces gens qui ont peur d'avoir peur " par Elaine N. Aron, Le jour, éditeur, 1999, 320 pages. (traduction de " The Highly Sensitive Person ")

Une personne sur cinq naît avec une sensibilité exacerbée. L'hypersensibilité est loin d'être un défaut. Alliant les résultats de solides recherches à des découvertes cliniques, l'auteur propose des tests qui permettront aux lecteurs de cerner leurs sensibilités particulières. Elle a puisé dans sa pratique de psychothérapeute des exemples visant à aider les hypersensibles à mieux se comprendre grâce aux expériences vécues par d'autres. Ce livre est conçu non seulement pour favoriser l'adaptation des hypersensibles aux différents aspects de leur trait, mais encore pour les inciter à en faire un atout dans leur vie professionnelle, sentimentale et spirituelle.

Tiré de http://www.reseauproteus.net/biblio/nouvparu/fiches/14102464.htm

Autre résumé par Marlyse Tschui:
Les hypersensibles : Introvertis, l'émotion à fleur de peau, les hypersensibles ont horreur du stress et de la foule. On les croit peu sociables. Mais s'ils s'isolent, c'est par peur d'être blessés.

S'il leur fallait un cri de ralliement, ce serait: "O monde cruel!" Car, sans nul doute, les personnes hypersensibles souffrent davantage que les autres. Ne supportant ni les conflits ni l'agitation, elles se sentent agressées en permanence alors que leur désir profond est de vivre dans le calme et l'harmonie. Les plus vulnérables d'entre elles fuient les contacts sociaux dans la mesure du possible et, leur journée de travail terminée, se réfugient aussitôt dans leur tanière, ce havre de paix où elles peuvent s'adonner à leurs rêveries en oubliant la pression du temps et la méchanceté des hommes. Souvent dotées d'une riche vie intérieure, elles trouvent dans l'art, la littérature et la spiritualité des joies qui peuvent compenser largement la difficulté qu'elles éprouvent à se mettre au diapason du commun des mortels. Handicap ou don du ciel?

Pour Cécile, 45 ans, ce trait de personnalité a ses bons et ses mauvais côtés: "Je me retrouve régulièrement dans des situations gênantes, c'est vrai, et je souffre peut-être plus que les autres, mais en contrepartie mes joies sont plus intenses. Je considère comme une chance d'avoir des émotions aussi fortes. Il me semble que ceux qui ne les ressentent pas manquent quelque chose d'important." Artiste peintre et mère de famille, pianiste à ses heures, Cécile ne peut s'empêcher de rire en évoquant l'effet le plus visible de son hypersensibilité, ces larmes qu'elle verse abondamment à la moindre occasion: "Je pleure pour des choses qui paraissent ridicules aux autres. Quand je regarde avec mon fils le dessin animé Rox et Rouky, je pleure au moment où la grand-mère doit abandonner le petit renard dans la forêt. Je pleure en entendant une chanson qui me touche particulièrement. La beauté de la nature me fait le même effet. Je me souviens qu'un jour d'automne j'ai arrêté la voiture au bord de la route pour admirer le jeu de la brume et du soleil dans la forêt, et je me suis mise à pleurer comme une madeleine tellement c'était beau. Je ne vais plus aux enterrements, parce que je sanglote du début à la fin de la cérémonie; j'ai appris à manifester ma sympathie autrement, par exemple en m'occupant du repas qui suivra les obsèques…"

Si Cécile s'accommode volontiers des débordements de son système lacrymal, elle éprouve davantage de difficultés sur le plan relationnel: "Quand on est très sensible, on est également susceptible. Certaines remarques peuvent me blesser énormément. Je les comprends d'autant moins que je fais toujours très attention à ne pas blesser autrui. Je suis d'une nature méfiante. C'est une manière de me protéger. Il me faut du temps pour bien connaître les gens et pour accorder mon amitié. Ce n'est sans doute pas un hasard si je me suis installée au fin fond de la campagne: les gens qui nous rendent visite sont forcément des amis. En ville, j'ai le sentiment qu'il règne beaucoup d'agressivité. L'agressivité des autres suscite en moi une peur panique. Je déteste la foule. Et j'ai du mal à établir un contact avec des gens que je ne connais pas. Je me souviens qu'après mon entrée aux Beaux-Arts il m'a fallu six mois et un effort surhumain pour me décider à aller boire un pot avec des gens de ma classe, que je trouvais pourtant sympathiques. Comme ma timidité ne se voit pas, il arrive qu'on prenne mon attitude pour de la froideur. Plusieurs personnes m'ont dit qu'en me voyant pour la première fois elles m'avaient trouvée assez impressionnante, notamment à cause de mon regard. C'est l'impression que je donne, mais dès que j'ouvre la bouche, c'est fini! Ma voix me trahit, elle tremble, je bégaie, je ne trouve plus mes mots. J'ai le même problème avec le piano. Je ne joue que quand je suis seule, jamais en public. Et avant mes leçons de piano, je prends une préparation à base de plantes pour me calmer, tellement je suis stressée à l'idée de faire des fautes devant mon prof. La peinture, en revanche, c'est beaucoup plus facile: je peins dans la solitude, j'accroche mes tableaux au mur, et je peux m'esquiver quand les autres viennent les regarder!"

Comme beaucoup d'hypersensibles, Cécile fait preuve d'un sixième sens très développé. "Au début, je me méfiais de mes intuitions. Il m'a fallu des années pour apprendre à faire confiance à mon feeling. Je me suis rendu compte que ce que je percevais chez les gens était souvent fondé. Il y a quelques mois, par exemple, nous étions en visite chez des amis, qui recevaient également un couple que nous ne connaissions pas. Sans pouvoir m'expliquer pourquoi, je ne supportais pas la présence du mari. Je me sentais si mal que je suis partie au bout de dix minutes en inventant un prétexte. Deux semaines plus tard, j'ai appris que cet homme avait tiré un coup de feu sur sa femme!"

En effectuant ses recherches sur les personnes dotées d'une sensibilité supérieure à la moyenne, Elaine Aron* a découvert qu'elles possédaient de nombreux traits communs. A commencer par un système nerveux qui réagit beaucoup plus violemment aux stimulations extérieures que celui de la plupart des gens. Un hypersensible est vite incommodé par des lumières ou des bruits trop intenses. Son seuil de résistance à la douleur et au jet lag est inférieur à la moyenne.

"Il m'a fallu six mois et un effort surhumain pour me décider à aller boire un pot avec des gens de ma classe, que je trouvais pourtant sympathiques."

Attentif à toutes les nuances de son environnement, il se montre particulièrement affecté par les changements d'humeur ou l'agitation de ceux qu'il côtoie. Enfant, il était qualifié de timide; adulte, il est peu sûr de lui, noue difficilement des contacts et a tendance à s'isoler. Il fuit la foule, qu'il ressent comme menaçante, ainsi que le regard des autres, qu'il imagine impitoyable. Il n'est pas rare qu'il se sente incompris ou mal-aimé. L'hypersensible est un grand romantique, mais son manque de confiance en soi peut le pousser à se jeter dans les bras de la première personne venue et à se marier malgré des incompatibilités criantes, tellement il est heureux que quelqu'un veuille bien de lui malgré ses défauts…

Consciencieux et perfectionniste, il met un point d'honneur à éviter les erreurs et les oublis. Le stress est son ennemi numéro un. Il aime travailler dans le calme, s'affolant s'il se retrouve sous pression ou si on lui demande de faire plusieurs choses à la fois. Au moment de s'exprimer ou de faire une démonstration en public, il est si bouleversé qu'il en perd tous ses moyens. Il s'adapte mal au changement et se donne beaucoup de peine pour organiser sa vie de manière à éviter les situations de crise. Il lui faut énormément de temps pour prendre une décision, car il en pèse interminablement les conséquences. Les événements du passé restent très présents dans son esprit et l'avenir l'inquiète, d'où une tendance à la rumination et à l'immobilisme. Son imagination est débordante, pour le pire comme pour le meilleur — on trouve d'ailleurs dans les rangs des hypersensibles un véritable foisonnement d'artistes et de gens créatifs. Autant il déteste le bruit et la fureur, autant la tranquillité et la solitude lui permettent d'épanouir ses innombrables talents. Il est attiré par la philosophie et la religion au sens le plus large. Ceux à qui il accorde sa confiance apprécient ses capacités d'écoute et de compréhension.

Bombardés de sensations, chambardés par les émotions, les hypersensibles ne mènent pas une existence de tout repos. Certains parviennent à un heureux équilibre, ayant choisi un métier correspondant à leurs penchants perfectionnistes ou artistiques tout en jouissant d'une vie affective stable et protégée. D'autres n'ont pas cette chance. C'est le cas des personnes qui ont opté pour une profession où la compétitivité est forte, les horaires irréguliers, les aléas économiques nombreux. Soumises à une pression excessive, elles ne parviennent pas à assouvir le besoin de tranquillité indispensable à leur bien-être. Elles risquent alors de tomber dans la dépression ou l'alcoolisme, mettant en péril non seulement leur santé, mais également leur vie conjugale ou familiale.

L'histoire d'Elaine Aron est différente. Aujourd'hui professeur d'université, psychologue et psychothérapeute, cette Américaine a longtemps cherché à dissimuler son hypersensibilité comme s'il s'agissait d'une tare. Au terme d'études marquées par d'innombrables crises de larmes, elle avait renoncé à entrer dans le monde du travail, si terrifiant à ses yeux, pour devenir épouse et mère au foyer. C'était tellement plus rassurant!

Pendant une vingtaine d'années, pensant n'avoir pas d'autre choix, elle est restée bien à l'abri dans son cocon familial. Mais plus le temps passait, plus son corps exprimait la souffrance qu'elle s'efforçait de nier. En proie à des troubles psychosomatiques importants, elle a fini par suivre une thérapie qui lui a permis de surmonter ses peurs, de sortir de son isolement et de réaliser ses ambitions. Forte de son expérience, elle a consacré une thèse de doctorat à ce sujet jusque-là négligé par les spécialistes: l'hypersensibilité. Au terme de cinq ans de recherches cliniques, d'enquêtes sur le terrain et d'entretiens avec ses patients, elle a publié un livre* afin d'aider ses semblables à organiser leur vie en évitant une pénible marginalisation et en tirant le meilleur parti d'une sensitivité dont les richesses méritent d'être mieux exploitées. Sortir de sa coquille, c'est possible. Et cela s'apprend. Grâce à leur vie intérieure intense et à une intuition particulièrement développée, constate Elaine Aron, les personnes hypersensibles tirent généralement le plus grand bénéfice d'une psychothérapie. Il suffit d'oser!

tiré de http://www.matin.ch/sante/conseils/psy/hypersen.html


" Les thérapies comportementales " par Jacques Van Rillaer, Neuilly, Ed. Bernet-Danilo, 1995, 63 p.

Les thérapies comportementales, dites aussi cognitivo comportementales, sont des psychothérapies fondées sur des progrès récents de la psychologie scientifique. Elles ont été développées à partir des années 1960, surtout dans les pays anglo-saxons. Leur objectif est de réduire des souffrances psychologiques et d'améliorer le bien-être, en apprenant comment modifier efficacement des modes de pensées et d'action.

Tiré de : http://www.rtbf.be/pulsations/dossiers/phobies.html


" Thérapies cognitives des troubles de la personnalité " par Jean Cottraux et I.M. Blackburn, Ed. Masson, 1996.

Jean Cottraux dans "les thérapies cognitives" explique comment les patients anxieux et déprimés ont leur vie mentale encombrée de mécanismes de pensée inconscients et automatiques qui traitent l'information provenant de l'environnement de façon erronée. Ces monologues intérieurs négatifs résultent de l'interaction de facteurs biologiques, d'expériences vécues et d'apprentissages acquis tout au long de la vie et provoquent la mise en place de systèmes de croyances erronées, appelés schémas cognitifs, tels que par exemple :
Pensées sur soi
Je ne vaux rien si je ne me réalise pas dans une ascension sociale digne des ambitions de ma famille;
Je ne suis bon à rien si je ne réussis pas tout ce que j'entreprends;
Je ne suis pas capable si je commets des erreurs;
Je ne comprends rien si je ne comprends pas tout;
Je ne suis pas digne d'être aimé puisque je n'ai aucune valeur;
Je dois aimer et aider mes proches plus que moi-même sinon je suis une mauvaise épouse ou une mauvaise mère;
Pensées sur les pensées des autres;
Je dois parler ou agir de façon parfaite sinon je serai mal jugé;
Je dois être toujours agréable et d'accord avec mes amis sinon ils ne vont plus m'aimer;
Tout le monde doit voir que mes mains tremblent pendant que je lis mon texte et on doit me trouver grotesque.
Pensées sur les réactions des autres
Je dois effectuer un travail irréprochable sinon je serai mal noté;
Je dois gagner beaucoup d'argent sinon ma femme me quittera.

Tiré de : http://perso.wanadoo.fr/christine.couderc/CognitionD.htm#Cottraux

Autre résumé :
Surtout à l'intention des psychothérapeutes. Perspective historique des conceptions de la personnalité et des troubles de la personnalité; théories
cognitives des troubles de la personnalité; modèle de Beck (appliqué aux troubles du DSM IV), modèle Young (voir notre dossier) et de Linehan,
outils d'évaluation de la personnalité (dont le questionnaire des schémas de Young); pratique des thérapies cognitives; cas cliniques pour chaque
groupe de personnalités du DSM IV; concept de scénarios de vie.

Tiré de http://www.psychomedia.qc.ca/slec.htm


En anglais

" Distancing: A Guide to Avoidance and Avoidant Personality Disorder " par Martin D. Kantor. Format: Hardcover, 200pp. ISBN: 0275944085 Publisher: Greenwood Publishing Group, Incorporated Pub. Date: January 1993

From the Publisher
While it is not surprising that in today's world avoidance (or distancing) has become so widespread that people assign greater importance to their possessions than their relationships, what is surprising is the extent to which avoidance has been overlooked, misunderstood, and/or downplayed. This book provides an in-depth look at avoidance and Avoidant Personality disorder (APD). The author studies the avoidant in the real world and habitat and evolves a dedicated, eclectic, action-oriented therapeutic approach. Kantor believes it is important to move away from individual components of avoidance, such as fear of rejection or low self-esteem, and to study and treat the avoidant "gestalt" for which the proper treatment is avoidance reduction. Components of the psychoanalytic, cognitive behavioral, interpersonal, and supportive approaches that involve "doing" or action, are emphasized.
From the Critics
Psychiatrist Kantor provides an in-depth look at avoidance and Avoidant Personality Disorder (APD), supplementing material gleaned from the avoidant in the therapist's office, on the structured psychological test, and in the research lab with a study of the avoidant in everyday life-- doing real avoidant things, unaware of being studied--and develops an eclectic, action-oriented therapeutic approach to the avoidant/APD patient. Annotation c. Book News, Inc., Portland, OR (booknews.com)

Table of Contents

Preface

        Pt. I Description and Dynamics

        Why Has Avoidant Personality Disorder Received so Little Attention?

        1.The Literature
        2.Descriptive Mental Status
        3.Dynamics of Avoidance
        4.Late APD
        5.Preferential Avoidance
        6.Avoidant People
        7.Sociocultural Manifestations

         Pt. II The Contribution of Avoidance to Other Disorders

        8.Psychotic Spectrum Avoidance
        9.Neurotic Spectrum Avoidance
        10.Characterological Spectrum Avoidance

         Pt. III Therapy

        11.Features of Avoidance Reduction
        12.Establishing Goals
        13.Specific Techniques of Avoidance Reduction
        14.Therapeutic Errors

Direct Advice to the Avoidant

References

Index

tiré de : http://shop.barnesandnoble.com/booksearch/isbnInquiry.asp?
userid=1MKM9Q15X9&mscssid=&sourceid=

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